• Par Camille Galic, journaliste et essayiste ♦ « La science du climat devrait être moins politique, tandis que les politiques climatiques gagneraient à être plus scientifiques. » C’est pourquoi, en réponse au fanatisme destructeur des écologistes, 1 609 scientifiques parmi lesquels deux lauréats du prix Nobel, l’Américain John F. Clauser et le Norvégien Ivar Giaever, viennent d’affirmer dans une Déclaration que « l’urgence climatique n’existe pas» car « les archives géologiques révèlent que le climat a varié tout au long de l’existence de la planète Terre, alternant les phases froides et chaudes de manière naturelle. Le Petit Âge Glaciaire s’est terminé pas plus tard que 1850. La période de réchauffement que nous connaissions aujourd’hui n’a donc rien de surprenant ». Mais que pèse la science face au fanatisme ?

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  • Les scientifiques du GIEC disent ce qu’on leur dit de dire, mais a-t-on oublié que le sud-ouest du Groenland a été réellement vert ? Qu’on y cultivait le blé ? Que la vigne produisait en Écosse ?

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  • Le GIEC n’est pas crédible tant les facteurs sont nombreux au milieu de quelques certitudes astronomiques qui ne plaident pas pour le réchauffement climatique dans la durée. Plusieurs objections majeures existent. Les cycles astronomiques, les cycles solaires, les conditions de changement et plus encore l’ordre des facteurs entre CO2 et température.

    Ces objections ne peuvent plus être balayées d’un revers de main par des politiques qui se sont embarqués, en Occident, dans un projet de transition totalement fou sur le plan économique et extrêmement risqué sur le plan industriel. Il est temps d’ouvrir le débat et de respecter les libertés les plus fondamentales, celle de la recherche, celle de la controverse scientifique, celle de la liberté d’expression. Il est temps que nos politiques prennent la mesure de l’ostracisme et de l’aveuglement scientifique qui est le leur et dont les conséquences économiques et sociales vont s’avérer désastreuses : ils en seraient les seuls et uniques responsables et coupables. Dans quelques décennies, les historiens ne manqueront pas de railler les peurs de l’an 2000 comme celles de l’an mil, les premiers cherchant la crainte de Dieu pour le salut des âmes, les seconds cherchant, semble-t-il, la soumission des populations pour le profit des puissants. Les temps changent, mais les stratégies demeurent, avec, au milieu, le sacrifice de l’intelligence humaine pour que la peur règne parmi les soumis.

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  • Il y a 22000 ans, le niveau de la mer était de 110 mètres plus bas.
    Il y a 8000 ans, il était 40 mètres plus haut qu'aujourd'hui
    (période brève, avec création de la mer Noire).

    Les volcans sont responsables de 80% des rejets de dioxyde de soufre.

    A distribuer à tous les écologistes de votre entourage, peut-être qu'au travers de ces dates, ils trouveront des explications au réchauffement de la planète dû à notre mode de vie d'aujourd'hui… !!!? 

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  • La NASA admet que le changement climatique est du aux modifications de l'orbite de la Terre, et non aux combustibles fossiles.

    Depuis plus de 60 ans, la National Aeronautics and Space Administration (NASA) sait que les changements qui se produisent dans les régimes climatiques planétaires sont tout à fait naturels et normaux. Mais l'agence spatiale, pour une raison quelconque, a choisi de laisser le canular du réchauffement climatique d'origine humaine persister et se répandre, au détriment de la liberté humaine.

    La vérité est bien plus proche de ce que l'astrophysicien serbe Milankovitch, qui a donné son nom à la théorie de Milankovitch, a proposé sur la manière dont les variations saisonnières et latitudinales du rayonnement solaire, qui frappe la Terre de différentes manières et à différents moments, ont le plus grand impact sur l'évolution du climat de la Terre.

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  • Le lien médiatiquement établi entre « réchauffement/dérèglement/changement climatique » n’est guère pertinent pour expliquer les incendies de 2022. Ce sont les situations météorologiques qui conduisent à des évènements parfois extrêmes, et l’on ne peut absolument pas prévoir comment évolueront les climats à l’avenir. Ce n’est certainement pas en réduisant les émissions de CO2 que des « changements » apparaîtront. Les milliards dispensés à perte dans le « changement climatique » seraient bien plus utiles s’ils étaient utilisés pour résoudre les problèmes réels et non supposés, celui des moyens à mettre en œuvre pour protéger les forêts, par exemple (mais pas seulement).

    « Il vaut mieux employer notre esprit à supporter les infortunes qui nous arrivent

    qu’à prévoir celles qui nous peuvent arriver » .

    De La Rochefoucauld.

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  • Juillet 2022 n’a pas été le mois le plus chaud « on record »

    C’est la première chose à dire. Juillet 2022 n’a pas été le mois le plus chaud depuis 1947. Il est en 4ème position derrière 2003, 1983 et 2006, en 5ème si l’on ajoute l’été 1947, l’un des plus chaud jamais enregistré en France.

    Une mécanique implacable s’est ainsi mise en marche : l’origine anthropique du réchauffement acceptée comme une vérité scientifique, les décideurs politiques sommés de prendre dans l’urgence des mesures drastiques pour réduire les émissions de gaz à effet de serre (qui ne seront jamais tenues car elles ne sont pas tenables !), une opinion résignée à la catastrophe inéluctable, une minorité d’activistes en mal de noble cause à défendre et trouvant dans la question climatique la possibilité d’une « extension du domaine de la lutte ».

    Nous sommes dans une situation qui relève de l’aporie. Les jeunes répètent ce que les adultes leur ont inculqué. Les adultes affectent de déplorer l’anxiété qu’ils ont eux-mêmes créée.

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  • cet article passe en revue certaines preuves issues d’études antérieures et nous présentons des données sur l’activité solaire tout au long de l’année 2017 pendant le minimum solaire afin de prouver la possibilité que le rayonnement solaire émis par les éruptions solaires et les éjections de masse coronale change le modèle climatique de la Terre. En rassemblant les enregistrements de données, nous pensons que la variabilité de l’activité solaire contribue au changement climatique dans laquelle, le minimum solaire entraîne un rayonnement solaire élevé produit et reçu par la Terre. Par conséquent, une quantité moindre d’énergie absorbée entraîne une baisse de la température de la Terre.

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  • Toute la gouvernance planétaire bassine le monde entier sur un hypothétique réchauffement climatique qui serait la conséquence de l’activité économique humaine à partir des rapports ad hoc du GIEC.
    Or ces rapports sont contestés.
    Nous avons un article de M. Navis qui démine sérieusement la théorie d’un réchauffement climatique généré par l’homme

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  • Cet article est un peu long, mais il éclaire sur les nombreux mensonges proférés par les autorités climatiques. Car, bien qu’elles le prétendent, leur souci n’est absolument pas, de « sauver la planète ». Il est financier : s’enrichir par les subventions étatiques et celles des industries dites « vertes » dont les chiffres d’affaires se chiffrent en milliards de $ et €.

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  • Les éruptions solaires correspondent à une brusque libération d’énergie durant une minute environ : c’est la « phase de flash ». La région devient soudainement très brillante au point de saturer les détecteurs.

    Le rayonnement électromagnétique qui se déplace à la vitesse de la lumière est le premier à atteindre la Terre. Les effets typiques d’une éruption solaire sont l’échauffement et la dilatation vers le haut de l’ensemble de l’atmosphère. Au cours d’une importante éruption solaire, les rayons ultraviolets qui frappent la Terre peuvent augmenter et avoir certains effets à long terme sur l’ozone.

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  • L’activité solaire est la conséquence d’instabilités magnétiques. Ces dernières entraînent ces phénomènes constituant certaines parties de l’activité solaire, mais elles sont importantes car spectaculaires, et ayant aussi des répercussions maintenant démontrées sur la Terre. Voici comment se passent les choses

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  • Bien que le Soleil soit une étoile de taille moyenne, il représente à lui seul plus de 99 % de la masse du système solaire.

    Environ tous les onze ans, le Soleil a des activités plus intenses et devient plus brillant, plus actif. De puissantes lignes de champ magnétique allant de l’intérieur du Soleil vers sa surface apparaissent telles des zones sombres, en comparaison des zones voisines. La photosphère se couvre alors de taches noires, appelées tâches solaires. Le nombre de ces dernières augmente suivant l’importance de l’activité.

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  • Juste pour planter le décor, quelques renseignements intéressants concernant le Soleil lui-même. Le Soleil est l’étoile du système solaire, notre système planétaire. Autour de lui gravitent la Terre, plus 7 autres planètes, trois planètes naines, des astéroïdes, des météoroïdes, des comètes et de la poussière interstellaire.

    Le Soleil se trouve à environ 150 millions de kilomètres de notre planète, la Terre; 109 fois le diamètre de la Terre, 330 000 fois la masse de la Terre.

     

     

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  • La dernière glaciation qui s'est achevée il y a 11700 ans  a entraîné une baisse généralisée du niveau des mers d'environ 120 mètres et un climat périglaciaire de la terre, entrainant de profondes modifications de la faune et de la flore.

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  • il y a 15000 ans, en l'espace de quelques années, les températures ont grimpé de 10 °C dans l'hémisphère Nord à la fin de la dernière glaciation d'il y a 21000 ans !

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  • Sans même parler de l'électricité nécessaire pour charger les batteries,  les batteries équipant les véhicules sont très lourdes, très coûteuses et bourrées de métaux rares tels que le nickel.

    Le nickel est plutôt rare sur notre terre: il faut creuser et creuser encore, broyer, cribler, hyrocycloner pour un résultat tout juste à la hauteur des besoins.

    Or tout cela entraîne de colossales montagnes de résidus que l'on déverse la plupart du temps dans la mer !

    Même problème écologique avec le Lithium et le Cobalt, nécessaire pour la fabrication des batteries !

     

     

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  • Dans cette publication je vais démontrer grâce à des indicateurs sur l’activité solaire récemment découverts, que le Soleil est entré dans une phase de « Grand Minimum Solaire » (2020-2053) qui conduira à une réduction significative du champ magnétique et de l’activité solaire analogue à celle du « minimum de Maunder » [1645 et 1715 (NDT)], entraînant une réduction notable de la température terrestre.

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  • Deux nouveaux articles — évalués par des pairs — provenant d’équipes indépendantes, confirment que les modèles climatiques surestiment le réchauffement atmosphérique, que le problème s’aggrave et empire avec le temps.

    Ces articles sont Mitchell et al. (2020)  « Le profil vertical des tendances récentes des températures tropicales : biais persistants du modèle dans le contexte de la variabilité interne » (Environmental Research Letters), et McKitrick and Christy (2020)  « Biais de réchauffement généralisé dans les couches troposphériques CMIP6 » (Earth and Space Science). John et moi n’avons connu le travail de l’équipe de Mitchell qu’après la publication de leur article, et ils n’ont pas non plus connu le nôtre.

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  • Le livre de Michael Shellenberger est la confession d’un repenti, celui d’un homme qui s’excuse, et non seulement pour lui, mais pour nombre d’environnementalistes partout dans le monde :

    « Au nom d’environnementalistes du monde entier, je voudrais m’excuser formellement pour la peur climatique que nous avons créée au cours de ces trente dernières années. Un changement climatique se produit. Ce n’est pas la fin du monde. Ce n’est même pas notre plus sérieux problème environnemental. »

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  • Depuis une trentaine d’année, la faim recule dans monde, comme elle ne l’avait jamais fait dans l’histoire de l’humanité. La célèbre course entre population et production agricole a été gagnée. Les prophètes de malheur qui l’annonçaient perdue, de Thomas Malthus (1798) à Josue de Castro (1952) et à Paul Ehrlich (1968), se sont complètement trompés. Les famines dont ils prédisaient la dramatique multiplication ont pratiquement disparu (à la triste exception de celles que causent des guerres civiles ou internationales). Même si beaucoup reste à faire, bien sûr, il faut saluer cette évolution.

    Elle contrarie nos idéologues du climat. Agiter la faim dans le monde pour justifier des politiques climatiques, c’était pourtant bien trouvé. Pas de chance, c’est raté. Pour justifier les subventions aux financiers de l’éolien, il va falloir trouver autre chose.

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  • Les modèles climatiques CMIP6 produisent 50% de réchauffement de surface de plus que les observations depuis 1979

    Par Roy W. Spencer, Ph.D.  (publié en anglais sur le site de Roy W.Spencer)

    Traduit de l’anglais par Serge Montagnac (obs-psr@orange.fr)

    Ceux qui défendent les modèles de prévision climatique produisent souvent des graphiques de la température de surface observée par rapport aux modèles qui montrent un très bon accord. Laissant de côté le débat sur les ajustements permanents des relevés de température de surface, qui produisent des tendances au réchauffement toujours plus croissantes, regardons comment les modèles les plus récents (CMIP6) se comportent par rapport à la dernière version des observations (aussi bonnes soient elles).

    Tout d’abord, je voudrais expliquer comment certains auteurs parviennent à un aussi bon accord entre les modèles et les observations. Voici les deux «techniques» qu’ils utilisent et qui me gênent le plus.

    1. Ils regardent de longues périodes, disons les 100 dernières années et plus. Cela améliore l’accord apparent, car la majeure partie de cette période est antérieure au forçage substantiel du système climatique par augmentation du CO2.

    2. Ils pointent des anomalies sur une période de référence commune, mais ne montrent pas de lignes de tendance. Ou, s’ils affichent des lignes de tendance, ils ne les démarrent pas du même point au début de l’enregistrement. Lorsque vous effectuez cette opération, l’écart entre les modèles et les observations est divisé par deux, l’écart dans la dernière moitié de l’enregistrement ayant le signe opposé de l’écart dans la partie précédente de l’enregistrement. Ils disent: «Tu vois? Les températures observées au cours des dernières décennies correspondent presque aux modèles! »

    Dans le tracé suivant (qui sera inclus dans un rapport que je fais pour la Global Warming Policy Foundation), j’évite ces deux problèmes. Pendant la période de forçage la plus forte en gaz à effet de serre (depuis 1979), les derniers modèles CMIP6 montrent un réchauffement de surface net entre 1979 et avril 2020 (+1,08°C), supérieur de 50% aux observations (+0,72°C).

    Remarquez que j’ai fait la supposition que les tendances étaient quelque peu non linéaires, en utilisant un ajustement polynomial de second ordre pour les trois “time series”. Ensuite, j’ai calé verticalement les “time series” CMIP de sorte que leurs lignes d’ajustement polynomiales correspondent aux observations de 1979. Je pense que c’est la façon la plus honnête et la plus significative de comparer les tendances de réchauffement des différents ensembles de données.

    Comme d’autres l’ont remarqué, il semble que les modèles CMIP6 produisent encore plus de réchauffement que les modèles CMIP5. Toutefois, le site Web KNMI Climate Explorer (à partir duquel toutes les données ont été téléchargées) ne dispose que de 13 modèles à ce jour.

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  • Au nom des écologistes du monde entier, je voudrais m’excuser formellement pour la peur climatique que nous avons créée au cours des 30 dernières années.

    Le changement climatique se produit. Ce n’est pas la fin du monde. Ce n’est même pas notre problème environnemental le plus grave.

    Il peut paraître étrange que je dise tout cela. J’ai milité pour le climat pendant 20 ans et été un écologiste pendant 30 ans.

    Mais en tant qu’expert en énergie invité par le Congrès à fournir un témoignage objectif, et invité par le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) à être expert examinateur de son prochain rapport d’évaluation, je me sens une obligation de demander des excuses pour la façon dont nous les écologistes avons trompé le public.

    Michael Shellenberger

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  • Depuis une vingtaine d’années, nous subissons une propagande soutenue sur les méfaits du réchauffement ou du « dérèglement » climatique. Une propagande massive est organisée par les Nations unies et leurs satellites (dont l’UN-IPCC, mal traduit par « GIEC » en français), ainsi que par la Commission européenne, les écologistes politiques, nos gouvernants et les médias subventionnés. Leur message est simple : le CO2 est un gaz « satanique » qui va rendre le climat insupportable sur Terre. Et l’Homme, qui serait le principal émetteur de ce gaz, est donc coupable d’avoir « bouleversé » le climat de notre belle Planète.

    On nous affirme qu’il faut donc réduire nos émissions de CO2 par tous les moyens, ce qui implique de réduire toutes les activités humaines. Aller vers une décroissance de toutes nos activités économiques, qui émettent toutes du dioxyde de carbone, avec des conséquences sociales cataclysmiques. Nous devons retourner à la sobriété ou la misère « heureuse ».

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  • Résumé : les 10 points clés

    1.Les enregistrements instrumentaux de la température (depuis 1850) montrent que 2019 a été une année très chaude, mais moins que l'année 2016.

    2.En 2019, la température moyenne a été affectée par un épisode El Niño modéré qui a interrompu la diminution graduelle de la température globale après le El Niño 2015-16.

    3.Depuis 1979, la température de la basse troposphère a augmenté sur terre et sur lesocéans, mais surtout sur les continents. Cela pourrait être expliqué par l'ensoleillement, la couverture nuageuse et l'utilisation des terres.

    4.Les changements de température enregistrées dans la basse troposphère se retrouvent généralement aussi à des altitudes plus élevées. Dans la stratosphère cependant, une pause des températures a commencé en 1995 environ, soit 5 à 7 ans avant qu'une semblable pause ne soit observée dans la basse troposphère, près de la surface de la Terre. La pause de la température stratosphérique se poursuit maintenant depuis 25 ans.

    5.L'épisode El Niño de 2015-16 est un des plus virulents observés depuis le début des mesures en 1950. Si l'on considère l'ensemble des enregistrements cependant, on voit que les alternances El Niño et La Niña ne sont pas inhabituelles.

    6.Depuis 2004, quand les enregistrements des températures des océans ont commencé, la couche au dessus de 1900 mètres s'était quelque peu réchauffée. Le plus fort réchauffement (entre la surface et 200 mètres de profondeur) a surtout affecté les océans situés à l'équateur où la radiation solaire entrante est maximum. Une situation contrastée par rapport à celle de l'Atlantique Nord qui a connu un refroidissement net prononcé à la surface depuis 2004.

    7.Les données des marégraphes suggèrent une élévation du niveau de la mer de 1 à 1, 5 mm par an alors que l'altimétrie satellitaire suggère une hausse d'environ 3, 2 mm par an, voire davantage. Cette divergence notable (dans un rapport de 1 à 2) entre les 2 systèmes de mesure n'a pas reçu d'explications largement acceptées.

    8.Depuis 1979, les banquises de l'Arctique et de l'Antarctique ont connu des évolutions divergentes, régression pour la première, augmentation pour l'autre. Les changements de courte durée qui se surimposent à ces tendances globales doivent être prises en compte pour comprendre les variations annuelles. Dans l'Arctique, un cycle de 5, 3 années est observé, de même qu'en Antarctique, qui est affecté par un cycle d'environ 4,5 années. Ces 2 variations ont connu leur minima simultanément en 2016, expliquant des records de baisse de l'extension globale de la banquise. Ceci a affecté en particulier la banquise antarctique en 2016.

    9.La couverture neigeuse de l'Hémisphère Nord a enregistré d'importantes variations locales et régionales d'une année à l'autre. Globalement la couverture neigeuse est restée stable depuis 1972.

    10.Les tempêtes tropicales et les cyclones ont montré depuis 1970 de grandes variations, mais on n'observe pas de tendance à l'augmentation ou à la diminution. Le nombre des ouragans ayant frappé les cotes des USA n'augmente pas depuis 1851

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  • La palme des événements extrêmes revient non pas au XXe siècle mais au XVIIIe siècle qui, avec une durée moyenne de 105 jours, marque en quelque sorte un apogée des sécheresses.

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  • Les ours polaires ne disparaissent pas. Si on vous l’a dit, vous avez mal compris ou avez été mal informé. Les ours polaires sont bien répartis dans leur habitat disponible et l’effectif de leur population est élevé (officiellement entre 22 000 et 31 000 en 2015, mais leur nombre se situe plus probablement en 2018 dans la fourchette 26 000 – 58 000 ). Ces données caractérisent une espèce saine et prospère. La question « Pourquoi les ours polaires disparaissent-ils ? » contient une fausse prémisse : il n’est pas nécessaire de demander « pourquoi » dans la mesure où la proposition « les ours polaires disparaissent » est fausse. 

    Il est vrai qu’en 2007, on prévoyait que la population des ours polaires chuterait en même temps que la banquise estivale déclinerait de 42% par rapport à son niveau de 1979 pendant 8 années sur 10 ( situation censée se produire en 2050) et disparaîtrait ou presque d’ici 2100 (Amstrup et al.2007). Cependant, depuis 2007, la banquise estivale a atteint des niveaux similaires à ceux du milieu du siècle (avec des variations d’une année à l’autre, voir la carte des glaces de la NOAA ci-dessous), pendant que la population des ours polaires a augmenté depuis 2005La catastrophe prévue ne s’est pas produite. Beaucoup de gens croient toujours que c’est le cas, car les médias et certains scientifiques cherchent encore à accréditer cette idée.

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  • Résumé du rapport

    Ce rapport se concentre sur les observations empiriques et non sur les simulations des modèles climatiques. Bien qu’un réchauffement se soit produit au cours des 40 dernières années, l’activité cycloniques est restée stable et la couverture neigeuse inchangée. Les banquises de l’Arctique et de l’Antarctique ont connu des évolutions divergentes, régression pour la première, augmentation pour l’autre. Des données nouvelles sur le contenu en chaleur des océans montrent qu’une grande partie de la chaleur provient du fond des océans et ne peut donc être liée à l’activité humaine.

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  • Il existe une corrélation manifeste entre la concentration de CO2 atmosphérique et l’accroissement de la température terrestre globale  au XXème siècle, corrélation pour laquelle il existe une explication physique plausible, l’effet de serre. Mais il y a une autre corrélation dont le GIEC ne parle jamais, sinon pour tenter de la nier : celle de  l’activité solaire, qui a été particulièrement forte au XXème siècle.  

    Le GIEC a pour obsession de masquer cette explication – mortelle pour sa propre existence  –, toute contribution solaire au réchauffement venant en déduction de l’action anthropique.

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  • Deux affaires énormes, avec des conséquences énormes sur la politique mondiale éclatent pratiquement en même temps. Et les deux pour escroquerie, manipulation de données…

    L’affaire du Lancet sur l’hydroxychloroquine.

    L’affaire de Mickael Mann, qui, par de prétendues découvertes, en 1999, a fait carrément changer au GIEC ses prévisions et a remis en cause ses anciennes connaissances. Il se trouve qu’un autre climatologue de renom, voire de génie (le Raoult de la climatologie), Tim Ball, a passé des années à se battre contre Mann et à démontrer qu’il manipulait les données…Ball défend l’idée que le CO2 n’est pas un gaz à effet de serre qui augmenterait la température mondiale, il a écrit un livre intitulé « La corruption délibérée de la science du climat » . [Il a déclaré au National Geographic que le réchauffement du dioxyde de carbone n’était qu’une hypothèse, mais qu’il avait été traité comme un fait car il correspondait à un programme politique et aux opinions des écologistes. Il a réitéré le point de vue selon lequel le réchauffement climatique d’origine humaine a été fabriqué par le mouvement environnemental. wikipedia]

    Tout ça donc sur fond politique, les démocrates-gauchistes  ayant intérêt à faire croire à la réalité du réchauffement climatique pour taper sur les nations occidentales industrialisées, leur mettre des bâtons dans les roues afin de privilégier les  pays en voie de développement. 

    En 2019, enfin, la Cour Suprême a donné raison à Tim Ball: l’escroquerie de Mann a été démontrée… si bien que le prix Nobel qui lui avait été donné lui a été retiré…

    Nous allons publier une série d’articles sur le sujet du prétendu réchauffement climatique, articles écrits par Gérard Mény qui mène, en France, une lutte courageuse, depuis des années, contre l’imposture du réchauffement climatique. Voici le premier.

    Christine Tasin

    https://resistancerepublicaine.com/2020/06/06/le-climatologue-a-lorigine-de-la-fable-du-rechauffement-climatique-condamne-pour-manipulation-de-donnees/?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+resistancerepublicaine+%28Resistance+Republicaine%29

    Le climat est donc un autre angle d’attaque pour mettre en évidence la supercherie de l’OMS associée par l’ONU et l’état profond à l’OMM. Trump a quitté les accords de Paris et vient de couper les vivres à l’OMS il est vilipendé par les mêmes Médias que Raoult, c’est bon signe. Macron en rajoute une couche avec l’impôt européen mais n’ose pas encore parler d’impôt mondial…

     

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